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Le point relais Leclerc Paris Ordener accueille un système robotisé de drive Ouidrop

Ouidrop réalise sa première implantation d’un Dropper, système de drive automatisant le retrait des courses, au sein de la grande distribution, chez E.Leclerc.

Publié le 11 juillet 2024 - 15h28
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Ouidrop

Le magasin E.Leclerc de Paris Nordis robotise la remise en main propre de courses au sein de son Point Relais E.Leclerc Paris Ordenner. La startup Ouidrop y a installé un Dropper, son système de drive automatisant le retrait des courses - sec, frais et surgelés - et des colis. L'appareil permet aux enseignes de la grande distribution de faire des économies importantes dans le déploiement et l’exploitation de leurs drives, tout en optimisant l’espace et la disponibilité de ce type de service. Quant aux cyberacheteurs, ils ont la possibilité de retirer leurs commandes en autonomie, à des horaires élargis (24h/24, 7j/7), mais également de faire le retour de leurs colis. « L’installation du Dropper sur notre point relais Leclerc Paris Ordener va nous permettre d’apporter une amélioration importante du service », se réjouit Sébastien Macherey, président du E.Leclerc Paris Nordis.


D'autres contrats en perspective pour Ouidrop

Ouidrop va ensuite déployer deux autres pilotes avec l’enseigne E.Leclerc, en milieu rural et périurbain. Et ce n'est pas fini, la société installe ce mois-ci un Dropper container sur le parking du magasin Hyper U Pontarlier, et prévoit pour la rentrée 2024 un premier déploiement avec le groupe des Mousquetaires. « À la fin de l’année, nous aurons au moins un Dropper en fonctionnement dans chacune des trois enseignes indépendantes de la grande distribution : Leclerc, Coopérative U et Intermarché, résume Thibault Soulier, fondateur de Ouidrop. Nous apportons de valeur ajoutée à nos clients et nous voulons faire nos preuves rapidement auprès des centrales des grandes enseignes pour des déploiements à grande échelle en 2025 ». Au-delà de la France, la startup ambitionne d’effectuer ses premières ventes en Europe l’année prochaine.

 


À lire également : Ouidrop lève 2 millions d'euros pour augmenter sa capacité de production de consignes robotisées

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