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Le groupe d’aucy étend sensiblement son partenariat avec LPR-La Palette Rouge

Le groupe coopératif breton d’aucy intensifie sa collaboration avec le locataire et gestionnaire de palettes LPR-La Palette Rouge (division Euro Pool Group) en lui confiant la partie conserves de légumes et plats cuisinés, avec une utilisation nouvelle de palettes 800x1200.

Publié le 21 février 2017 - 15h45
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Après plus de six années de collaboration, l’un des plus importants groupes agroalimentaires français, notamment connu pour sa marque de légumes en conserve, a renouvelé sa confiance envers LPR-La Palette Rouge. Le groupe coopératif d’aucy a décidé d’entendre son partenariat avec le locataire et gestionnaire de palette européen en lui confiant la gestion des mouvements de palettes de ses conserves de légumes et de ses plats cuisinés, représentant au total 450 000 tonnes de marchandises. LPR-La Palette Rouge a ainsi vu le nombre de ses mouvements de palettes annuels être multiplié par huit, passant de 50 000 lors de son précédent contrat à 400 000 aujourd’hui.

 

En outre, le prestataire membre d’Euro Pool Group doit désormais gérer des palettes aux dimensions 800x1200 mm, que le groupe d’aucy a souhaité utiliser pour gagner en qualité de service et praticité. « Nous utilisions assez peu ce format avec LPR, déclare Xavier Chamaillard, responsable logistique CGC (Compagnie générale de conserves), société mère du groupe d’aucy. Nous avons voulu aller plus loin dans l’optique de garantir à nos clients une qualité irréprochable de palette, un critère qui est et deviendra de plus en plus important à leurs yeux. » LPR-La Palette Rouge accompagne le groupe d’aucy au sein de ses cinq centres d’expédition situés à Lanvénégen (56), Saint-Thurien (29), Locminé (56), Bergerac (24) et Contres (28). « Nous avons choisi LPR pour des raisons de qualité, mais aussi pour son envergure européenne, parfaitement dimensionnée à nos besoins puisque 25 % de notre production part à l’export. En optant pour un système locatif, nous souhaitions nous concentrer sur notre cœur de métier. C’est ce que ce nouveau mode de gestion nous a permis. Désormais, nous constatons un véritable gain de temps, notamment sur la notion de contrôle à la réception, nettement moins importante sur un système locatif », conclut Xavier Chamaillard. 

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