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Benoît Gourlay devient directeur général de Sato France
Fort d’une expérience de plus d’une quinzaine d’années dans le secteur de l’étiquetage, Benoît Gourlay est nommé directeur général de Sato France, entreprise qu'il a intégrée en 2013.
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Sato
Le fournisseur mondial de solutions intégrées d’identification automatique et de collecte de données Sato annonce la promotion de Benoît Gourlay au poste de directeur général de Sato France SAS. Il succède à Laurent Lassus, qui devient directeur général de Sato Europe GMBH. Dans le cadre de son nouveau poste, Benoît Gourlay assure le pilotage de toutes les activités de la filiale française selon les objectifs de vente définis par le groupe japonais. Sa mission ? Conquérir de nouvelles parts de marché autour de deux axes prioritaires : la commercialisation de solutions à valeur ajoutée et la transformation de l’entreprise pour relever les enjeux de demain.
Devenir le leader français du marché
Âgé de 43 ans, Benoît Gourlay est diplômé d’un master d’ingénierie qualité & environnement des productions industrielles de l’IUP QEPI et d’ingénierie d’exploitation des systèmes de production de Polytech Lille. Il a débuté sa carrière en 1999 au poste de directeur d’usine au sein de Thollon SA, avant de rejoindre en 2003 Gen'etiq en tant qu'assistant de direction. Après avoir été pendant trois ans, à compter de 2010, responsable commercial Nord Est d’Etikouest, il intègre Sato France en 2013 aux fonctions de chef des ventes consommables avant de devenir, en 2015, manager business development et manager produits consommables de Sato Europe. « Au cœur des enjeux de l’industrie 4.0, de la supply chain 4.0, du new retail et de l’Hôpital du futur, Sato France bénéficie aujourd’hui d’une position d’acteur reconnu dans le monde de l’IoT et de challenger sur le marché des solutions d’identification et de traçabilité à valeur ajoutée. Nous souhaitons aujourd’hui intensifier notre dynamique commerciale et accélérer notre transformation pour devenir dans les prochaines années le leader français sur ce marché », commente Benoît Gourlay.