QAD DynaSys équipe Maroquinerie Thomas pour l'optimisation de sa supply chain

Après avoir dévoilé il y a quelques jours son nouveau nom, QAD DynaSys a annoncé la signature d'un nouveau contrat avec Maroquinerie Thomas, entreprise européenne du marché du luxe. Cette dernière a décidé de s'équiper des solutions de Production Planning, Procurement Planning et Advanced Analytics en mode cloud de QAD DynaSys pour optimiser sa supply chain. « Nous sommes une entreprise familiale qui est centrée sur son métier et le respect des traditions de maroquinerie. Nous n’avions ni le temps, ni la capacité de gérer une nouvelle infrastructure informatique. Le mode Cloud était, de fait, totalement adapté à notre entreprise, nos process et notre stratégie. Il nous a permis de nous focaliser sur notre expertise et notre cœur de métier », explique Christophe Pinard, supply chain manager de Maroquinerie Thomas.

Employant 1 500 personnes sur cinq sites en France et un atelier en Italie, Maroquinerie Thomas avait réalisé un audit de sa supply chain en 2017 qui avait mis à jour sa complexité et son manque d'agilité. « L’évolution de notre secteur suit celui de la mode », détaille Christophe Pinard. « Comme lui, nous connaissons de plus en plus de variations, avec une visibilité réduite sur l’ensemble de notre supply chain. Avec un minimum de quatre collections par an dans le luxe, cela signifie pour nous une vision au trimestre. Il faut anticiper l’approvisionnement des matières premières, souvent rares et chères. Il faut également planifier la charge pour que tous nos maroquiniers soient occupés de façon optimale compte tenu de leur qualification. » Pour répondre à ces besoins, l'entreprise a donc décidé de s'équiper de la solution end-to-end de QAD DynaSys afin de pouvoir traiter des données agrégées, partager de l'information, travailler en collaboratif et automatiser certaines tâches. « Le choix de QAD DynaSys s’est fait en mars 2018, le démarrage du projet en mai et la mise en production des premières fonctionnalités en novembre », explique Christophe Pinard.