LPR accompagne Saint Louis Sucre pour répondre aux exigences de l'automatisation

Voilà plusieurs années que Saint Louis Sucre s'est lancée dans l'automatisation de son site de conditionnement de Roye (80), près d’Amiens. Réception du sucre, conditionnement, stockage des produits finis : 14 500 palettes sont traitées chaque mois pour alimenter les différents points d’étapes de la production. Et leur support se devait donc d'être fiable pour répondre aux exigences nouvelles de ces solutions automatisées. « Pour permettre le bon fonctionnement de ces équipements, Saint Louis Sucre a choisi de s’équiper d’un équipement spécifique permettant de mesurer la qualité des palettes avant utilisation. Ceci implique d’avoir des palettes aux critères dimensionnels extrêmement précis et des supports palettes de qualité suffisante pour éviter tout disfonctionnement et toute reprise manuelle extrêmement chronophage », détaille Sandra Demay, chargée des projets supply chain sur le site. 

Pour cela, Saint Louis Sucre a fait appel à LPR (division d'Euro Pool Group) pour réduire le taux de rejet, et éviter les aller-retour de palettes entre les sites, avec une solution sur mesure. « Saint Louis Sucre a deux contraintes. Un calibrage précis des palettes pour le transtockeur mais aussi une exigence au niveau de l’hydrométrie des supports de manutention, l’humidité résiduelle dans la palette pouvant remonter et solidifier le sucre en poudre. Pour répondre à ces besoins, nous avons décidé de concevoir au sein de l’un de nos centres de service à Marolles (91) une ligne adaptée. Celle-ci comprend un calibreur qui rejette les palettes non conformes et un séchoir afin de répondre aux exigences en matière d’hydrométrie », explique Nicolas Pramil, responsable commercial chez LPR. Des process dédiés qui ont nécessité la formation des collaborateurs de LPR à ces nouveaux besoins, avec l'aide des équipes de Saint Louis Sucre. Mise en place sur deux ans, la solution apporte aujourd'hui de nombreux avantages, avec en tête un taux de rejet des palettes ayant diminué de 8 % depuis 2015.