Entrepôts
Bosch Rexroth et Agilox s'associent pour attaquer le marché des AMR
Bosch Rexroth et Agilox étoffent leur offre de robots mobiles autonomes en nouant un partenariat. Pour la start-up, c'est aussi la garantie d'un accès rapide à des marchés internationaux.
©
Bosch Rexroth | David Niedermaier, co-fondateur d'Agilox (à g.), Dr. Marc Wucherer, responsable des ventes monde de Bosch Rexroth et Dirk Erlacher, CEO APAC d'Agilox (à d.)
Bosch Rexroth, une filiale du groupe Bosch, et Agilox, deux sociétés spécialisées dans la manutention et l'automatisation, s'entendent pour développer en commun leurs solutions en matière de robots mobiles autonomes (AMR). Avec un marché en forte croissance, les deux partenaires sont convaincus que les clients souhaitent des gammes de produits les plus larges possibles, couronnées par une distribution et un service international. Pour Agilox, cet accord lui ouvre des portes sur de nouveaux marchés dans le monde. « Avec Bosch Rexroth, nous avons à nos côtés un partenaire solide et établi au niveau international », explique Franz Humer, co-fondateur d'Agilox.
Des produits robotiques complémentaires
Améliorées en permanence, les gammes de robots mobiles de Bosch Rexroth et d'Agilox permettent d'acheminer différents types de charges, du petit bac sur embase roulante aux palettes allant jusqu'à 1,5 tonne. « Cette collaboration nous permet de combiner un produit fort et l'agilité d'une start-up à la présence internationale et la capacité de développement d'un acteur mondial. Les portefeuilles produits des deux sociétés se complètent parfaitement », précise Enno Scharphuis, responsable de la business unit Assembly technology de Bosch Rexroth. Avec cette association, Bosch Rexroth peut commercialiser des AMR développés par Agilox basés sur la robotique en essaim ou l'intelligence distribuée, ainsi que l'ActiveShuttle, une solution respectant la norme VDA 5050 pour les systèmes de gestion de flotte. « Ces deux solutions jouent un rôle essentiel dans l'optimisation des flux de matériaux dans l'intralogistique et s'intègrent parfaitement aux structures existantes », explique Enno Scharphuis.