Mecalux augmente la capacité de stockage du centre logistique Mephisto

Mecalux, spécialiste des systèmes intralogistiques, élargit la surface utile de stockage de la plateforme logistique du fabricant de chaussures Mephisto, qui peut désormais traiter entre 2 000 et 3 500 commandes internationales par jour. « L’installation avait plus de trente ans et devenait obsolète face à l’évolution de nos activités. Dès que nous avons voulu renforcer notre stratégie B-to-B, nous avons compris qu’il fallait élargir la zone de stockage, réorganiser les flux, accélérer les opérations et augmenter la productivité », explique Christian Kalch, directeur industriel et logistique de Mephisto. D’une surface de 18 000 m² sur trois niveaux, l’entrepôt contient environ 35 000 références. La marque possède 900 boutiques et vend dans 18 000 magasins de chaussures à travers le monde. Les solutions d’automatisation Mecalux ont permis d’éliminer les erreurs et d’augmenter l’efficacité des préparations de commandes. « Notre objectif est de pouvoir approvisionner efficacement les magasins, en éliminant les erreurs et les retards. Pour ce faire, nous devons constamment nous renouveler, et c’est pourquoi nous ne craignons pas le changement. À l’avenir, nous serons certainement en mesure d’améliorer encore davantage le stockage et la préparation des commandes grâce à la robotique et l’automatisation », souligne Christian Kalch.

Des rayonnages, convoyeurs et élévateurs

« Les nouvelles solutions de stockage ont changé toute l'organisation de l'entrepôt et cela constitue un tournant dans notre activité », lance Christian Kalch. Sans interrompre la production et les expéditions, Mecalux a installé des rayonnages à palettes et pour picking, ainsi que des convoyeurs et des élévateurs connectant les trois niveaux du centre logistique de manière automatique. « Grâce à la répartition stratégique des marchandises, les opérateurs sont en mesure de localiser les produits et de passer des commandes plus rapidement. Par conséquent, nous avons gagné en efficacité lors de la préparation des commandes », conclut Christian Kalch.