Confluence (GSE) initie son premier projet français de plateforme logistique, et il sera XXL

Confluence, une filiale du groupe d’immobilier professionnel GSE, initie le projet de sa première plateforme logistique en France (en prédéveloppement), sur la ZAC du Parc logistique de l’Aube, à cheval sur Moussey et Buchères (10). Construit en blanc sur un terrain de 18 hectares, le bâtiment occupera une surface totale de 91 000 m². Il sera composé de huit cellules de 11 000 m², toutes divisibles, et de deux zones de bureaux en R+1 de 1 364 m² chacune, ainsi que des locaux de charge de 201 m² et des locaux techniques. Le site accueillera deux parking VL offrant 287 places, un parking poids lourds de 22 places, et un parking visiteurs de 10 places.
Mettant en avant son emplacement, aux portes de Paris et au carrefour des autoroutes A5 et A26, Confluence développera ce projet en partenariat avec le Département de l’Aube (propriétaire foncier et aménageur), Business Sud Champagne (l’agence de développement économique de l'Aube et du Sud Haute-Marne), et CBRE (en charge de la commercialisation).

Des qualités environnementales requises pour une certification Breeam « Excellent »

Conçue dans le respect de l'environnement, la plateforme sera en conformité avec la réglementation spécifique aux Installations classées pour la protection de l'environnement (site ICPE Seveso seuil bas), et visera les labels Breeam niveau « Excellent » et Biodivercity. Afin d’augmenter les performances énergétiques du bâtiment, une solution de GTB (gestion technique du bâtiment) a été préconisée, complétée par une installation de panneaux solaires photovoltaïques devant produire 8 147,6 MWh/an. Les consommations en eau seront réduites grâce à la mise en place de systèmes hydro-économes et d’un système de récupération des eaux pluviales (cuve EP).
Il est prévu qu'un écologue accompagne l’équipe pendant la durée du projet. « Concernant la préservation et le développement de la biodiversité sur le site, plusieurs actions sont d’ores et déjà envisagées, comme l’accent mis sur le réemploi de la terre issue du site, le fait de privilégier le matériel végétal d’origine locale ainsi que les espèces végétales indigènes et proscrire les espèces invasives, détaille Karen Mounier, directrice pré-développement chez Confluence. De même, des zones de prairie, des haies champêtres ainsi que des zones favorables au développement d’une végétation hygrophile seront créées. »

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