Immobilier
APRC a livré trois bâtiments à Segro entre fin 2021 et fin 2023
APRC, filiale contractant général d’APRC Group, annonce avoir construit plus de 80 000 m² de bâtiments logistiques sur le Segro Logistics Park Saint-Quentin-Fallavier (38), près de Lyon.
©
Alban Perret
Alban Perret
Un premier bâtiment de 27 000 m², un second d'une surface de 45 000 m² et un dernier de 10 000 m². Au total, le contractant général APRC a livré plus de 80 000 m² à Segro sur son Segro Logistics Park Saint-Quentin-Fallavier (38). Ce programme de distribution urbaine et logistique est implanté sur un terrain de 20 hectares, à 35 km de Lyon et 15 km de l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry. « Lancé tout début 2020, ce projet a dû faire face au double impact lié à la période Covid puis celle de la guerre en Ukraine. Tenir les engagements coûts et délais relevait, dans ces conditions, d’un défi hors normes qu’APRC a su relever de manière remarquable, indique Quentin Liu, directeur technique et développement de Segro. La capacité d’APRC à maintenir des relations durables et équilibrées avec ses prestataires, la qualité de la communication et de partage de l’information tant d’un point de vue financier qu’opérationnel que savent déployer les équipes d’APRC, ont été des atouts décisifs pour maintenir la cohérence d’un projet sur lequel Segro s’était engagé auprès de ses preneurs. La capacité de mobilisation de ses équipes pour comprendre et accompagner les exigences de Segro et de ses clients ont permis à cette triple relation de rester sur un trend gagnant/gagnant pour tous. »
Concilier développement économique, durable et biodiversité
Exploités respectivement par LDLC, expert français en high-tech et matériel informatique ; le groupe BBL, spécialiste en organisation de transport et services logistiques, et Bansard International, spécialiste du freight forwarding et de la logistique overseas, ces trois bâtiments construits par APRC sont certifiés Breeam Excellent et labellisés BiodiverCity Life. Ainsi, peuvent être soulignés sur ces projets la réutilisation in situ de 95 % des matériaux issus de la déconstruction de l’ancienne friche industrielle ; l’installation d’une centrale photovoltaïque en toiture permettant la production électrique de 4 520 MWh ; la mise en place d’une unité verte de près de deux hectares ainsi que la conception d’un parcours pédagogique de sensibilisation à la biodiversité.